Vincent ferait tout pour avoir ce job dans un dancing. Cravate, costard, il ne s'habille comme ça que pour les grandes occasions ! La rencontre avec le gérant, beau gaillard au demeurant, se déroule rondement. Dès qu'il porte la bouche à sa culotte, Vince sent qu'il touche au but. Il l'aura ce travail aussi vrai que le chef black apprécie sa longue pine blanche. Puis c'est à son tour de montrer ses talents au pompage. La longue pine noire bien en bouche, Vincent va aimer l'atmosphère c'est certain. Puis, vient le moment souhaité de river son le clou dans l'entrevue d'embauche. Armant son engin Vincent enfonce profondément la tige dans le trou du brother noir. L'autre retient son souffle en jetant un peu de lest. Un doigt dans le trou du cul de balle}}, quelques baisers bien appliqués et l'affaire caché dans ses couilles en ressort bientôt en une forte averse blanche et bien gouleyante. Si le chef remet ça c'est qu'il a apprécié la première fois et qu'il jouira des fois suivantes. La cravate est de mise quand on a une entrevue débauche.

Ils se sont croisés sur les quais, leurs regards disaient tout. Sans échanger un mot, ils se sont emboîté le pas. Ils se sont retrouvés chez lui, ils n'ont pas hésité. Ils ne se connaissent pas mais connaissent déjà leurs membres… et retirant les attributs de leur époque comme autant d'obstacles à la vérité, ils remontent aux origines. Chaque muscle, chaque sillon connaît bientôt la langue de l'autre, la seule qu'ils aient en commun. Ces belles tiges se cherchent et leurs culs et leurs bouchent les dressent l'un contre l'autre dans des étreintes qui hérissent leurs épidermes de mille fibres nerveuses. Sur la terrasse leur amour domine la ville invisible. Sur le matelas ils se livrent à un amoureux combat à la rencontre de leurs deux cul-tures. Le trou du cul livre ses secrets passages à la bite enflammée du de fortune}}. La peau parcourue de frissons se couvre de sueur moite pendant que le membre s'enfonce plus loin, plus fort. Le javelot bien en main l'autre masturbe le cyclope jusqu'à l'éjaculation libératrice. Dans son dos le nectar des couilles de son adversaire aimé se fraie un chemin dans le sillon de son postérieur et c'est pur plaisir de le sentir rejoindre le sien au bout de son gland qui retrouve le repos du guerrier.

Le brun est un homme sage et mûr, le rouquin est un canon d'une vingtaine d'années… Mais sur un transat en plein été, la différence d'âge n'existe plus. Les rayons du Soleil ont chauffé leurs corps, leurs esprits, et laissent nos deux hommes en proie à leurs instincts les plus fous… En regardant ce corps de vingt ans, fin et frais, se trémousser devant lui en l'allumant, le brun sent son sexe palpiter. Surtout que le rouquin met tout en œuvre pour le rendre cinglé, complètement cinglé ! Il approche sa langue de sa bouche et entre dedans sensuellement tout en caressant l'entrejambes durci du bonhomme. Il lui taille une pipe arrogante, à genoux, en léchant abondamment ses couilles ; le brun est en transe totale ! Mais s'il croit dominer ce trésor de vingt ans, il se trompe lourdement. Car le gros sexe du rouquin ne pense qu'à une chose : explorer tous les recoins de cet homme mûr qui l'excite depuis le lever du soleil… Il le prendra à même son transat, le faisant gémir et grogner à coups de sexe, lui balançant des sodomies toujours plus profondes, et jouissant tout son nectar sur les poils de son torse… L'été nous rend tous chauds bouillants !